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Le vaccin contre le paludisme porte ses fruits au Kenya

Au Kenya, plus de cent mille enfants ont bénéficié du nouveau vaccin contre la première maladie transmise par les moustiques : le paludisme. Face à cette situation, les médecins ont constaté un grand changement. Les admissions pour paludisme commencent à diminuer considérablement. Environ 400 000 personnes dont 260 000 enfants en bas âge meurent de cette pandémie des moustiques femelles en Afrique subsaharienne. Pour y remédier, l’Organisation mondiale de la santé a décidé d’agir en recommandant les vaccins.

La situation du paludisme à travers le monde

Comme vous le savez déjà, le paludisme est une maladie provoquée par un parasite appelé « Plasmodium ». D’après l’OMS, cette infection a touché plus de 229 millions de personnes à travers le monde en 2019. Elle a causé 409 000 décès.

Aux États-Unis, environ 1 500 cas de paludisme ont été enregistrés dont la majorité provient des immigrants et voyageurs. Ces derniers reviennent d’un séjour prolongé en Afrique subsaharienne ou en Asie du Sud et sont totalement inconscient qu’ils sont vecteurs de la maladie,

Cette situation est très alarmante, car on constate que les moustiques résistent aux insecticides et les parasites développent une résistance face aux molécules antipaludiques. Pour vaincre ces créatures, l’OMS recommande une vaccination.

Pourquoi avoir choisi le Kenya ?

Le lac Victoria est l’un des endroits propices pour la reproduction des moustiques. Le paludisme est devenu une maladie endémique sur place. Par conséquent, plusieurs familles en souffrent régulièrement, en particulier les enfants. Leurs immunités affaiblies entraînent souvent la mort en 24 heures. Pour stopper ce ravage au plus vite, l’OMS a décidé de tester le premier vaccin dénommé « Mosquirix  ou RTS, S,» au Kenya.

Commercialisé par le laboratoire GlaxoSmithKline, ce remède a fait l’objet d’un essai à grande échelle pendant 30 ans. Ainsi, il n’y a rien à craindre sur son efficacité. Le but est de diminuer au plus vite le taux de mortalité infantile sur place. Ce programme-pilote vise aussi à estimer une facilité d’administration des 4 doses requises.  

Mosquirix : une bonne nouvelle pour les familles

Depuis 2019, ce vaccin révolutionnaire a été mis en place dans quelques pays africains ainsi que d’autres régions à risque. En octobre 2021, son utilisation sur les enfants de moins de 5 ans a été approuvée par l’OMS. Environ 800 000 enfants dans trois pays, notamment le Malawi, le Kenya et le Ghana, ont bénéficié d’une première dose.

Pour Lucy Akinyi et sa grande famille vit près du lac Victoria, la mère de famille utilise des anti-moustiques mécaniques et naturels tous les jours. Mais malgré tous ses efforts, ses enfants continuaient à être piqués. « Nous avions beaucoup de paludisme à la maison. Il pouvait nous arriver d’aller trois fois par mois à l’hôpital ».

L’arrivée du vaccin est un vrai miracle tombé du ciel. Les enfants ne tombent plus malades et le taux de paludisme a considérablement diminué. Elle ajoute : « Nous sommes très heureux parce qu’aucun de mes enfants n’est malade ». De son côté, sa belle-sœur, Millicent Akoth Oyoya, a aussi décidé de vacciner ses petits quand elle a constaté les résultats positifs sur ses proches.

Taux de mortalité réduit

Les professionnels de santé dans les hôpitaux de l’ouest du Kenya ont considéré un grand changement depuis l’apparition du vaccin. Les admissions pour paludisme chutent et les symptômes ne sont plus sévères. « Nous avons observé une réduction des cas depuis l’administration du vaccin en septembre 2019 » confirme Elsa Swerua, cheffe infirmière au centre de santé Akala. Puis elle ajoute, « Si un enfant est atteint de cette maladie, les symptômes sont moins graves. Le nombre de morts connaît aussi une diminution. »

Ces bonnes nouvelles sont réjouissantes. Il ne faut pas oublier que certaines familles n’ont pas les moyens nécessaires pour payer les frais d’hospitalisation. Désormais, les gens ont plus d’argent pour subvenir aux besoins de leurs progénitures : nourriture et produits essentiels basiques.  

Toutefois, le docteur Jonathan Juliano, chercheur de l’équipe scientifique de ce programme précise que : « Dans certaines régions d’Afrique, les cas d’infection ont même augmenté. De nouveaux moyens sont nécessaires pour continuer à progresser vers l’éradication »

Prendre des mesures supplémentaires et sensibiliser

Selon le Dr Rachel Lowe, professeure agréée au LSHTM, il faudra mettre en place de nouvelles mesures pour se préparer aux effets du réchauffement climatique et les conséquences sur la santé. La meilleure technique à adopter est de surveiller de près les zones potentielles à risque. Bien entendu, il ne faut pas oublier les régions qui ont été épargnées par le paludisme, car elles ne sont pas encore préparées à cette épidémie.

Utiliser les moyens de protections contre les moustiques

Avec toutes les maladies qui apparaissent subitement aux quatre coins du monde, il est primordial de réduire l’impact des moustiques. Cette créature minuscule est en effet vectrice de plusieurs pandémies comme : dengue, chikungunya, paludisme, zika, etc. Pour éviter de se faire piquer et attraper ces maladies catastrophiques, mieux vaut se protéger autant que vous le pouvez.

Utilisez des insecticides en privilégiant les plus efficaces sur le marché. Les produits qui contiennent du Deet, par exemple, agissent sur le système nerveux des moustiques. Certes, cette odeur repousse les moustiques, mais ne les élimine pas. Vous pouvez également enfiler des vêtements imprégnés de perméthrine. Cette substance est très efficace, mais sa durée est plutôt limitée à 90 jours.

Si vous préférez les produits soft, misez sur les sprays et lotions anti-moustiques classiques à base d’huile essentielle. Seulement, évitez de les utiliser sur une enfant de moins de 3 ans. De même, les bracelets anti-moustiques sont interdits aux bébés.

Et la moustiquaire alors ?

Depuis des siècles, la moustiquaire a pu protéger l’homme des moustiques. Et pourquoi pas pour les décennies à venir ? Aujourd’hui, vous n’êtes plus obligé d’acheter la moustiquaire suspendue placée au-dessus du lit. Optez plutôt pour les modèles adaptés aux portes et fenêtres qui aèrent parfaitement la maison.

Vous trouverez ce genre de produit chez Tranquilisafe. Cette toile hautement résistante va barrer le passage des moustiques, mais aussi de la pollution, du pollen et des autres insectes nuisibles. Ces derniers ne pourront plus jamais s’inviter chez vous sans votre accord, bien sûr !

Les moustiquaires Tranquilisafe sont des produits innovants. Elles sont aimantées et ajustables pour plus de praticité. A chaque passage, le rideau se ferme ou s’ouvre automatiquement. Et si votre porte d’entrée est équipée d’une chatière, il suffit de relever le bas et de le fixer avec le scratch.

Nos modèles se déclinent en plusieurs formes adaptées aux portes, fenêtres, balcons et terrasses. Oui ! Nous pensons grand et à toutes les ouvertures possibles. Ce qui rend nos moustiquaires uniques c’est qu’elles s’installent à l’aide des velcros. Vous n’avez qu’à prendre les mesures, commandez et installez. Si jamais une partie dépasse, il suffit de découper avec une paire de ciseaux.

De plus, nos produits sont conçus avec des matières premières de qualité : fibre de verre et polyester enduite PVC. Ce sont des matériaux de bricolage derniers cris. Ils offrent une grande résistance aux chocs et ultra-violet. Pour ne pas gâcher votre intérieur, nous avons bien pensé aux finitions. Ne vous affolez pas !

Bref, le vaccin Mosquirix a montré son efficacité dans les pays africains subsahariens, la zone du globe où les moustiques font encore plusieurs ravages. En tout cas, pour la population sur place, ce remède recommandé par l’OMS est une lueur d’espoir, surtout pour la survie de leurs progénitures. Mais, si vous êtes sceptique, la prévention est la meilleure solution pour éviter les piqûres de moustiques jusqu’à ce que les recherches révèlent de nouvelles preuves. Misez donc sur la moustiquaire hermétique Tranquilisafe en attendant.

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