Maladies

Pandémie, covid-19 et moustiques: faut-il s’attendre à un nouveau phénomène planétaire?

Lorsqu’on entend le mot pandémie, le Covid 19 est le premier à nous venir en tête. Et pourtant, nous oublions le moustique et les nombreuses maladies qu’il véhicule avec sa salive. Est ce que covid-19 et moustiques peuvent faire la paire? Et qu’en est-il de ce nouveau virus transmis par ce petit insecte siphonneur de sang qui peut très bien devenir la source de la prochaine pandémie. 

Effrayant, non? Tentons de tout comprendre dans cet article. 

Covid-19 et moustiques: pourquoi ça ne collera jamais

Le mode de transmission 

Nous le savons que très bien le mode de transmission de la Covid-19 avec les gestes barrières. Tout ce qui est postillon ou surface touchée par une personne infectée peuvent être vecteur de la maladie. Mais il n’est aucunement question de moustique!!! La Covid 19 ne se transmet pas dans le sang, tout est question de voie respiratoire. Il est donc impossible d’envisager une quelconque transmission de la covid par les moustiques.

Le virus est digéré par le moustique 

Pour le comprendre, rappelons qu’il y a plusieurs étapes à passer pour qu’un moustique puisse transmettre une maladie, d’après l’Entente interdépartementale pour la démoustication du littoral méditérranéen. Pour commencer, il faut que le moustique pique une personne infectée et ingère le virus. Ce virus doit ensuite passer par la digestion pour atteindre les cellules du moustique et les infecter. Ce n’est que comme ça qu’il atteint les glandes salivaires pour se répliquer. 

C’est par la salive que le moustique va contaminer une personne en transmettant le virus. Or, la Covid 19 ne pourra même pas passer la première étape puisqu’elle sera digérée comme tout autre virus et microbe qui entrent en contact au quotidien avec les moustiques. Qui plus est, le moustique n’est pas un mammifère, impossible donc pour le virus du coronavirus de s’attaquer à ses cellules respiratoires. Donc, covid-19 et moustiques, c’est une histoire qui ne marchera pas.

La covid-19 ne raffole pas des moustiques

Le coronavirus tel qu’on le connaît aujourd’hui se transmet d’humain à humain, d’une personne infectée à une personne saine. Mais à ses débuts, la transmission se faisait entre trois espèces, d’après l’OMS: la chauve-souris, le pangolin et l’homme. Jusqu’à preuve du contraire, les moustiques n’entrent pas dans ce cycle de transmission. Pour cause, comme nous l’avons vu un peu plus haut, le fait que le moustique ne soit pas un mammifère ne favorise pas le développement du virus.

Covid 19 et moustiques: des signes similaires? 

Covid-19 et moustiques, quelques points en commun, on vous l’accorde. Oui, il existe quelques similarités entre les symptômes du covid-19 et celles des maladies transmises par le moustique, la dengue plus précisément. En effet, les premiers signes du coronavirus sont la fièvre, les douleurs musculaires, toux, essoufflement pour certains, rhinopharyngite, perte du goût et de l’odorat et la diarrhée dans certains cas. Il en est de même pour la dengue. Elle se caractérise par des maux de tête, de la fatigue, des douleurs articulaires, de la fièvre, etc. La seule différence est qu’il peut y avoir en plus des éruptions cutanées et des saignements au niveau des muqueuses, que ce soit le nez, ou les gencives en cas de dengue. Peut-on s’attendre à une pandémie due à une maladie véhiculée par les moustiques? 

Si certains virus déjà connus sont sous surveillance parce qu’ils pourraient être à l’origine d’une nouvelle épidémie (il est encore trop tôt pour parler de pandémie), les scientifiques redoutent et attendent l’apparition de nouveaux virus dans un avenir plus ou moins proche. 

Covid-19 et moustiques: qu’est ce qui favorise leurs proliférations?

Covid-19 et moustiques: la déforestation 

La déforestation n’est pas seulement un cauchemar pour la planète et l’environnement mais aussi pour notre santé. Pour cause, les animaux apprennent à modifier leurs comportements et modes de vie une fois privés de leurs habitats naturels. C’était d’ailleurs le cas de l’Ebola en Afrique qui est transmis par les chauve-souris et qui reste sans traitement jusqu’à aujourd’hui. 

Les animaux  se déplacent alors pour aller au contact de l’homme. Pourtant, ce rapprochement homme-animal n’est pas toujours une bonne chose. Il augmente les risques de transmission de virus zoonotiques (qui se transmet de l’animal à l’homme) comme le cas du Covid-19. 

Covid-19 et moustiques: le changement climatique 

Le changement climatique, on en entend beaucoup parler. Mais à ses effets, ajoutez l’accroissement de la transmission de certaines maladies. Rappelons que la plupart des virus émergents sont transmis par des moustiques ou insectes en tous genres. Pourtant, le changement climatique a un impact sur ces vecteurs, raison pour laquelle le changement climatique peut encourager l’apparition d’une nouvelle pandémie. 

Prenons comme exemple le moustique tigre en France. Ce moustique, c’est le vecteur de la dengue, du chikungunya et du zika. Grâce au changement climatique, le moustique tigre vit aujourd’hui plus longtemps et a agrandi sa zone d’action. En 2020, ce sont six nouveaux départements qui sont en vigilance rouge et  67 départements (ce qui représente 65% du territoire) dont 57 placés en vigilance rouge qui abritent le moustique tigre. 

Covid-19 et moustiques: la mondialisation 

Aaaaaah la mondialisation ou le monde sans frontières. Le trafic aérien joue un rôle important dans le rapprochement des pays. Mais cette connexion n’est pas toujours une bonne chose. Cela veut dire que la circulation des virus d’un pays à un autre se fait aussi très rapidement. On l’aura vite compris pendant cette pandémie du coronavirus mais aussi avec les plus de 840 cas de maladies dues aux moustiques en France. 

Peut-on déjà entrevoir ce prochain virus qui va sévir? 

Bien qu’il n’ait pas vraiment fait la une des actualités, le virus West Nile était à l’origine d’une épidémie en Europe en 2018. Il a été découvert du côté du Nil occidental, à ses débuts, il était véhiculé par un moustique assez commun ( pas de moustique tigre donc), et se transmet aussi désormais par certaines espèces d’oiseaux en Europe. 

Ses symptômes: méningites, encéphalites, bref, il attaque tout ce qui est neurologique. On avait recensé quelques 2083 cas autochtones dans 181 décès dans une dizaine de pays dont la France ( 27 cas). Le West Nile peut-il être la source d’une nouvelle pandémie, les scientifiques veillent au grain. Son mode de circulation dans l’environnement, la possibilité d’une transmission d’homme à homme font l’objet d’une attention particulière. 

Que faut-il donc faire pour éviter ce scénario catastrophe? 

Comment l’éviter? Laissons aux scientifiques le loisir de trouver une solution à grande échelle. Mais chez vous, commencez à tout mettre en œuvre (trouver le moment idéal dans notre article La saison des moustiques, quand s’équiper) pour éviter de vous faire piquer. Comment? Grâce à des gestes simples qui visent à faire de votre maison et votre jardin un endroit peu accueillant pour les moustiques. 

Enlevez tout ce qui est eau stagnante 

Les moustiques adoooorent les eaux stagnantes. Fonds de pot de fleurs, flaque d’eau, résidus d’eau dans les gouttières etc sont des endroits parfaits pour la ponte chez les moustiques. Ne vous étonnez donc pas si votre maison ou votre jardin est pris d’assaut par les moustiques. En enlevant tous ces points d’eau, vous éradiquez le problème à la racine. 

Installez une moustiquaire 

Certes, vous pouvez utiliser des répulsifs en extérieur (c’est mieux à cause de leurs effets sur la santé) mais lorsque vous êtes à la maison et lorsque vous dormez, s’il vous plaît, laissez votre peau respirer! Le moyen le plus sûr de se débarrasser des moustiques, c’est d’installer des moustiquaires sur toutes les ouvertures qui donnent sur l’extérieur. 

L’avantage c’est que c’est pas chimique du tout (découvrez la réalité sur ces répulsifs chimiques dans cet article) et que vous êtes sûr que ça fonctionne (contrairement aux différentes méthodes naturelles). Vous n’avez qu’à les poser sur les portes et fenêtres et toute la famille est protégée. 

La moustiquaire Tranquilisafe 

Vous  avez besoin d’une solution rapide et facile à mettre en place, vous êtes au bon endroit. Tranquilisafe vous propose une large gamme de moustiquaires ajustables pour portes, fenêtres et baies vitrées. Faciles à poser, ces moustiquaires n’ont besoin que d’une paire de ciseaux pour orner les ouvertures de votre maison. 

Les moustiquaires Tranquilisafe sont faites pour tout le monde. Vous avez des animaux de compagnie? Ils pourront circuler librement dans la maison grâce à l’ajustement pour la chatière. Une des raisons qui découragent les propriétaires de chat d’investir dans une moustiquaire: le félin qui se prend pour un ninja et s’accroche sur la moustiquaire de la fenêtre. Résultat: ils doivent changer de moustiquaires tous les deux mois. 

Pourquoi ne pas choisir un produit de qualité qui ne se laissera pas facilement faire malgré les griffures? Les moustiquaires Tranquilisafe sont fabriquées en fibre de verre, un matériau que nous ne connaissons que trop bien pour sa résistance aux chocs. 

D’après certaines, une moustiquaire ce n’est pas pratique. Il faut toujours s’assurer qu’elle soit bien refermée après chaque passage pour éviter que les moustiques ne s’invitent dans la maison, quelle angoisse! Sortez en toute quiétude dans votre jardin, vous pouvez être sûr que la moustiquaire Tranquilisafe se fermera toute seule après votre passage et hermétiquement, s’il vous plaît! 

On l’aura compris, covid-19 et moustiques, ce ne sera jamais possible. Mais attention, il pourrait être à l’origine d’une nouvelle pandémie avec sa facilité à s’adapter à tous les environnements. Si une action mondiale n’est pas de votre ressort, vous pouvez dès aujourd’hui protéger votre famille en installant des moustiquaires ajustables ou sur-mesure Tranquilisafe sur vos portes et fenêtres. 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page